histoire a lire

Voici une histoire vachement bien que j'ai trouvez sur un forum a commenté(sa parle de tales of symphonia pour ceux qui connaissent pas vous comprendrai vite)il y aura Le passé de kratos(super bien )et la A.A.K(super drole mais c'est un produit dérivé du passé de kratos)je voudrai savoir par quoi commencer a mettre
Le passé de kratos
l'A.A.K
Réponder vite

J'ai désider de commencer par le passé de kratos(c'est pas moi qui l'ai écrit mais je vous mais quelque chapitre commentait les)

Chapitre 1 : La Ferme humaine de Forcystius.

Kratos ne savait trop que faire dans un tel endroit. Il avait quelques jours de repos. Dès qu’il était descendu de Derris-Khârlan, il devait inspecter les fermes Désianes. Tu parles d’un repos… Kratos n’aimait pas trop les fermes. Les quelques cris de torture qu’il pouvait percevoir lui étaient insupportables.
De plus, il n’aimait pas aussi Forcystius, le plus fort des 5 grands cardinaux Désians… Il avait eu en effet, quelques querelles avec lui. Mais il avait promis à son ami Yggdrasill d’inspecter avec le plus grand soin les fermes, et il ne manquerait pas à accomplir sa tâche. Il se baladait, donc, dans les couloirs du l’aile Ouest de la ferme.
Quand subitement, un cris atroce lui vint aux oreilles. Il se précipita vers la source du cris et vit, à l’angle d’un couloir, une jeune femme face au mur, les mains sur le mur, en train de se faire fouetter par un fouetteur Désian. Plus loin, un magicien Désian préparait des Boules de feu pour les jeter sans doute sur la prisonnière… Kratos essaya d’ignorer cette scène, mais le cris féminin lui était trop insupportable. Il se mit les mains sur les oreilles, bien que ses cheveux rouges les cachaient déjà entièrement, mais le cris retentissait de plus belle de son cerveau avec un écho infini. C’en était trop. Kratos dégaina son épée et porta un coup puissant au fouetteur.
Kratos : Croc démoniaque !
Fouetteur : Argh ! …
Il s’étala par terre, totalement K-O. De son côté, le magicien était sur ses gardes, et quand il vit Kratos le regarder sombrement, il n’hésita pas.
Magicien : Boules de feu !
Kratos : Gardien ! Croc démoniaque !
Le magicien s’effondra à son tour par terre, inerte.

La jeune prisonnière se retourna. Elle tremblait de tout ses membres. Kratos put distinguer son visage ; elle était belle, ses cheveux marrons tombaient sur les épaules, ses yeux noir étaient envoûtants.
Prisonnière : Merci de m’avoir sauvé !
Kratos : Ne parle à personne de ceci, O-K ?
Prisonnière : D’accord, je m’appel Marble, je viens de Palmacosta et je…
Kratos fit signe de la main pour la faire taire. Il tendit l’oreille. Il entendait des Désians qui accouraient au loin. Il se retourna vers la jeune fille.
Kratos : Pas un mot c’est bien compris !
Marble : Oui !
Sur ce, Kratos s’élança dans les couloirs, en repensant à l’acte qu’il venait de commettre. Il espérait que Forcystius n’en saurait jamais rien…

Il courut encore 5 grosses minutes, quand il fut stopper par un homme qui lui barrait le chemin. Il était plus petit que lui, ses cheveux argentés tombaient légèrement. Il semblait porter une arme inquiétante sur le bras droit…
Homme : Et bien, Kratos, où cours tu comme ça ?
Kratos, essoufflé : Forcystius ! Euh… je me rendais aux toilettes, c’est par où ?
Forcystius : Ne ment pas, je lis l’angoisse dans tes yeux. Je viens d’être averti du fait qu’il y ait eu une attaque sur mes hommes, au niveau 3. Tu ne serais pas au courant par hasard…
Kratos : Je ne suis au courant de rien ! J’inspecte les niveaux et je viens juste de terminer le niveau 5.
Forcystius : Tiens donc, alors comment se fait-il que nous soyons au niveau 2 ?
Kratos : * Mince, quel boulet je suis, je ne reconnais même pas les niveaux… * Euh, ah ? J’ai du me tromper et prendre le mauvais ascenseur.
Forcystius : Alors fait bien attention à ne pas te perdre dans mes appartements privés, tu pourrais le regretter !
Il s’éloigna en marchant d’un pas fier.
Forcystius : Ne t’en fais pas, tu n’arriveras pas à me mentir continuellement ! C’est un conseil, Kratos !

Kratos continua sa route. Il savait que Forcystius était certain maintenant, que Kratos avait attaqué ses hommes. Et si le seigneur Yggdrasill est au courant de cette histoire ? Kratos se rassura en se rappelant que le seigneur était un amis de longue date et qu’il aurait plus confiance en Kratos qu’en Forcystius.
Il sortit de la ferme et se rendit à Isélia, le village le plus proche, pour passer la nuit. Lorsqu’il arriva au village, il ne trouva pas l’auberge tout de suite.
Il décida de se promener dans le village. Il passa devant une école. Il jeta un bref coup d’œil par la fenêtre. Un professeur parlait du héros Mithos à ses élèves…
Professeur : Frank Brunel, peux-tu répondre ?
Frank : Oui, certainement professeur ! Le héros Mithos mit fin à la guerre…
Kratos ne chercha pas à en entendre d’avantage et poursuivit son chemin.

Il arriva enfin à l’auberge. Après avoir donné quelques Flouz, il alla se reposer dans sa chambre en attendant le dîner. Il repensa à l’histoire qui lui était arrivé dans la ferme. Il détestait Forcystius.

Après avoir mangé un bon Curry, il alla se coucher et sombra dans un sommeil sans rêve.

Ba alors vous avez pas d'avis pourtant je vous ai choisie une histoire avec beaucoup de succès 401 page + de 8000 post )bon voila la suite

Chapitre 2 : La caravane de Kova.

Le lendemain, Kratos s’était réveillé tôt. Il avait l’intention de se rendre sur le continent Est pour pouvoir inspecter la ferme de Magnius le plus rapidement possible. Il choisi d’emprunter le chemin en passant par le Nord puis par le Pic d’Hakonésia, ce qui lui permettrait d’éviter de louer un bateau. Il pénétra alors dans la forêt d’Isélia, pour pouvoir accéder au continent du Nord.

Il faisait froid. Il faisait noir. Mais Kratos n’avait pas peur, il marchait la tête bien droite, sur un chemin qui lui était maintenant connu. Il passa devant la ferme de Forcystus, mais l’ignora. Il était presque sortit de la forêt, quand subitement…
Fouetteur : Ne bouge plus, Kratos, tu es encerclé !
Un cercle de vingt Désians se refermait sur Kratos quand Forcystus fit son apparition.
Forcystus : Alors, l’Ange du Cruxis est-il prêt à avouer ses actes au seigneur Yggdrasill ?
Kratos : Je ne vois pas de quoi tu parles. Y a-t-il un mal à aller dormir à Isélia ?
Forcystus : Ce n’est pas de ça que je parle. Une certaine Marble à avouer qu’un homme très fort à terrassé deux gardes devant ses yeux. Tu ne vois pas qui cela pourrait être ?
Kratos : Non, désolé ! Maintenant casse toi vite et laisse moi passer !
Forcystus : Gardes, attrapez le !
Kratos dégaina son épée. Il se battrait le plus possible.
Kratos : Croc démoniaque, croc démoniaque, croc démoniaque !
Magicien : Lisière aqua !
Kratos : Lance de lumière !
Les Désians tombaient les uns après les autres. Mais ils étaient supérieur en nombre.
Kratos : Premiers soins ! Croc démoniaque ! * Argh, je ne vais plus tenir longtemps… je suis foutu * Bouclier !
Le bouclier n’apparut pas. Kratos s’évanoui. Les Désians le portèrent, mais, une volée de flèches venue de nulle part les abattu. Les Désians se retournèrent, apeurés, cherchèrent l’endroit d’où aurait puent venir les flèches. Une deuxième volée apparu a son tour. Des Désians tombèrent. Forcystus, effrayé, s’enfuit avec le peu d’hommes qu’il lui restait, vers la direction de sa ferme humaine.

Kratos, évanoui, eut soudainement très froid. Il senti un liquide qui tombait de son visage… Lorsqu’il se réveilla, il s’aperçut qu’il s’était pris un seau d’eau sur la tête. Il ouvrit les yeux, progressivement. Ses paupières lui faisaient atrocement mal. Lorsqu’il put enfin distinguer la personne qui se tenait devant lui, il eut comme le sentiment d’être en sécurité totale. Devant ses yeux se dressait une magnifique fille, d’une vingtaine d’années, dont la beauté et le charme n’était sans égal. Ses cheveux marrons tombaient devant ses yeux et reposaient sur ses épaules délicats. Lorsque cette fille s’aperçut du réveil de Kratos, elle cria.
Fille : Kova ! KOVA ! Il est réveillé !
La première personne à accourir auprès de Kratos, fût un petit garçon.
Garçon : Anna ! Pousse toi ! Je veux voir !
Anna : Attends Nova, nous devons attendre ton père, Kova pour savoir que faire.
Le Kova en question ne tarda pas à arriver.
Kova : Allons Anna, dégage toi un peu, cet homme doit respirer un peu !
Kratos : * Mais je respire beaucoup mieux en compagnie de cette fille * pensa-t-il.
Anna : Oui oncle Kova.

Des hommes aidèrent Kratos à se relever et lui donnèrent un Elixir pour le soigner. Il les remercia et leur demanda leur identité.
Kova : Nous faisons partis de la Caravane de Kova. Notre caravane parcours Sylvarant du Nord au Sud dans le but de faire des découvertes sur le monde en général.
Kratos : Hum, j’ai déjà entendu parlé de vous. * Mais jamais de cette sublime créature ! *
Kova : Je me présente, je suis Kova en personne, voici ma femme, Mutishi, mon fils unique, Nova, qui héritera de la totalité de mes bien…
Nova : Ouais ! Ce sera, la caravane de Nova ! Ca sonne plutôt bien nan ?
Kova, qui continuait les présentations : Voici ma sœur, Cyrinne, son mari, Kévin, mes cousins…
Kratos : - soupir - * Quand viendra-t-il enfin à l’essentiel ? *
Kova : Mes parents, mes compagnons de longue date, mes compagnons récents…
Kratos : * Pfiu ! C’est quand il veut ! *
Kova : Et enfin, ma nièce, Anna ! Qui vient juste d’avoir 20 ans.
Kratos : Enfin !
Kova : Pardon ?
Kratos : Non, rien… ^_^ ’

Après quelques brèves discussions où Kratos était plutôt occupé à contempler Anna, la caravane de Kova s’en alla en direction de Triet pour étudier les ruines avec précision, et pour, si la chance leur permet, pouvoir rencontrer un élément du feu.

Kratos continua son chemin vers le Nord, l’esprit quelque peu préoccupé par Anna. Il avait connu une « déesse », mais une comme ça, jamais il n’avait eu l’occasion d’en voir une de la sorte !

Bon écrivé votre avis

je le saver pas ke le passer de kratos exister moi mer sinon c bien je trouve

moi pareil
tu te souvien Admin de la ligue anti kakashi
on lui a toujour pas dit mais on voulait demonter benoit juste aprés[/i]

Non mais tu devrai pas le dire parce que il est inscrit sur ce forum je te rapelle mais sinon vous voulez la suite....

Voici la suite



Chapitre 3 : Aux alentours de Luin.

Cela faisait maintenant 2 jours que Kratos marchait, où plutôt volait, en direction du Pic d’Hakonésia. En effet, le vol était un moyen de déplacement beaucoup plus rapide, mais Kratos ne devait pas se faire remarqué, c’est pourquoi il redescendait sur terre lors des sentiers assez fréquentés.

Il arriva enfin à Luin, une ville entourée d’un petit lac, ce qui faisait tout son charme et ce qui la rendait si apaisante. Il décida de faire un tour touristique dans cette ville où il n’était pas allez depuis au moins 150 ans. Il acheta des Loupes magiques, des Gelées de pomme et d’orange, et quelques Fioles de panacée. Il dépensa aussi une sacrée somme de Flouz car il demanda à un Minouz de le tenir régulièrement au courant de l’endroit où se trouvait la caravane de Kova, dans le simple but de savoir quand il pourrait revoir Anna.

Lorsqu’il arriva dans l’auberge, il régnait dans l’air une atmosphère qui s’avérait inquiétante. Un groupe de personnes, toutes regroupées en un seul tas parlait à voie basse. Kratos s’en approcha et arriva à distinguer quelques mots.
Homme : Alors, vous attaquerez par la droite … ferons irruption par l’entrée principale … sonner l’alarme…
Kratos s’en désintéressa et monta dans sa chambre.

Le lendemain, il partit très tôt de Luin en direction du Pic d’Hakonésia. Son chemin le mena jusqu’au Lac Umacy. Il décida de se rincer le visage avec de l’eau clair et propre. Il s’installa sur la rive, et commença à ôter son équipement pour s’étirer. Alors qu’il sommait tranquillement, un hennissement de cheval lui parvint aux oreilles. Il se retourna, s’agita, et put apercevoir une magnifique Licorne galopant vers un endroit où les mouches se rassemblaient de plus en plus.
Il se leva, se déplaça légèrement, et vit que les insectes s’étaient réunis autour d’un cadavre. Kratos sauta à l’eau et rejoint la rive opposée sans aucune difficulté. A peine eut-il mit le pied sur la terre ferme, la Licorne s’enfuit à toute vitesse.
Kratos : Non ! Attends ! Je ne te veux aucun mal !
Ses paroles furent vaines. Kratos s’approcha du cadavre avec méfiance. Il put remarqué que des petites étoiles scintillantes disparaissaient petit à petit dans l’air.
Lorsqu’il fût assez près pour pouvoir examiner le cadavre, il remarqua avec surprise que la bête que la licorne avait certainement essayé de ressusciter respirait. Avec un long mouvement du bras, il fit s’éloigner les mouches qui se pressaient autour de l’animal.
Kratos : Quel débile je suis ! Si je n’étais pas intervenu, la Licorne aurait totalement soigné cette pauvre bête ! Ahrg !
Kratos s’approcha et caressa la bête. Elle gémissait. Il la remis debout et vis qu’elle était très blessée au flanc droit.
Kratos : Je dois faire quelque chose ! Je ne peux pas laisser cette bête ici !
Il fit sortir ses ailes d’Ange, mis avec beaucoup de mal la bête sur ses épaules, et s’envola en direction de Luin, avec l’espoir d’y trouver un vétérinaire.

Lorsqu’il arriva au dessus de Luin, il se posa en plein milieu de la place principale, et s’effondra à terre sous le poids de la bête. Les gens qui eurent assisté à cette scène poussèrent un cris d’épouvante.
Femme : T’as vu ? Un homme est tombé du ciel car il s’est pris cet oiseau en pleine tête !
Homme : Et comment aurait-il pût voler ? Les Anges n’existent pas à ce que je sache !
Enfant : Mais ce n’est pas un oiseau, c’est un renard !
Femme : Sûrement pas ! Regarde ses oreilles ! On dirait des ailes !
Kratos se releva avec beaucoup de peine.
Mamie : Oh ! Mon pauvre monsieur, vous allez…
Kratos : Vite ! Il faut emmener ce chien, euh… ce loup, bref cet animal chez un vétérinaire au plus vite !
Kratos s’avéra très convaincant ! Trois hommes s’emparèrent de la bête et l’emmenèrent au cœur de la ville.
Kratos les suivit, en grignotant une Gelée de pomme.

Lorsqu’il arriva chez le vétérinaire, ce dernier avait depuis longtemps examiner l’animal. Il demanda à Kratos de rester dehors, le temps qu’il soigne la bête presque morte.
30 minutes plus tard, le vétérinaire ouvrit la grande porte de bois et invita Kratos à entrer dans sa maison.
Vétérinaire : Vous avez de la chance ! Votre euh… machin-chose est totalement remise sur pattes !
Kratos pouvait entendre des aboiements joyeux provenant de la pièces voisine.
Kratos : Merci beaucoup ! Combien je vous dois ?
Vétérinaire : Héhéhé ! Beaucoup !
En effet, la somme que Kratos dut payer dépassa l’imaginable.

Quelques instants plus tard, Kratos sortit de la ville en compagnie de l’animal, hurlant de joie. Ils firent à peu près cent mètres quand Kratos dit :
Kratos : Bon ! Maintenant que tu es en état de vivre, nous allons faire les présentations !
Animal : - Lèchements –
Kratos : Je m’appelle Kratos Aurion, je suis un Ange du Cruxis, et ton nouveau maître !
Animal : - Halètements –
Kratos : Bien, eh bien, je vais t’appeler Noïshe !

Il continua son chemin quand il s’aperçut d’une chose : il avait oublié son équipement sur la rive du Lac Umacy. Sans boussole est sans carte, Kratos monta Noïshe – qui s’avéra très résistant – et avança vers l’inconnu, en espérant qu’ils iraient dans la bonne direction…

Vos commentaires sur se chapitre Qu'es ce que vous en dites

Voici le 4e volet tant attendu

Chapitre 4 : La Ferme humaine d’Arkart.

Malheureusement, au lieu de se diriger vers le Sud, Kratos et Noïshe se dirigèrent vers le Nord, où se trouvait la Ferme humaine d’Arkart, un des cinq grands cardinaux Désians.

Lorsque Kratos le remarqua en voyant au loin la Ferme, qui sortait d’épais buisson, il comprit qu’il n’était pas sur la bonne voix. Tans pis. Il irait inspecter cette Ferme avant celle de Magnius. Il ordonna d’un coup de talon dans le flanc à Noïshe de se diriger vers le bâtiment Désian.

Il était à cinq cents mètres de la Ferme, quand il fût attaqué par un groupe de coccinelle dorées. Après les avoir gentiment éclaté comme il se doit, Kratos s’aperçut qu’une des coccinelles avait laissé une boussole. Kratos sauta à terre et s’en empara. Ce sera toujours une aide en plus, pensa-t-il. Il remonta sur Noïshe, débordant d’énergie, et galopa à toute vitesse vers la Ferme.

Une fois arrivé à destination, Kratos attacha Noïshe à un arbre à l’aide d’une liane qu’il avait arraché à mains nues. Il se dirigea vers la porte principale et trouva, à sa grande surprise, les deux gardes étant censés garder l’entrée ruisselants dans leur sang, à côté du grillage de barbelé où un passage avait été ouvert. Kratos passa par ce passage et entra dans la cour principale de cette Ferme. Il descendit par l’escalier qui menait au niveau –1 de la Ferme, dans l’espoir de trouver un soldat qui pourrait lui indiquer où trouver Arkart.

A peine eut-il le temps de descendre de la dernière marche, qu’un remue ménage se fit entendre dans la cour d’où il venait. Il remonta les marches quatre par quatre et, une fois en haut de l’escalier, réussi à esquiver de très peu une Lisière Aqua qui ne lui était sûrement pas destinée. Il sortit du bâtiment et pénétra dans la cour. Là, il put contempler un cours moment une batailles qui opposait les Désians à des hommes en habits classiques. Il put reconnaître les hommes qui parlaient d’un projet à Luin. C’était donc ça, leur fameux projet…

Un Désian s’approcha de lui.
Désian : Vous êtes Kratos ? L’Ange du Cruxis qui…
Kratos : Oui, c’est moi, l’interrompit-il. Qu’est-ce qui se passe ici ?
Désian : Nous avons subi une attaque monsieur ! Un groupe d’hommes ont forcés les barbelés et ont attaqués nos soldats !
Kratos : Bien ! Capturez-les et interrogez-les !
Désian : Il y a un problème monsieur ! Apparemment, ils avaient des complices prisonniers qui se sont chargés de faire avaler du poison à nos hommes. La plupart sont morts. Nous sommes donc en nombre réduis ! Ils sont plus nombreux que nous !
Kratos : Pensez-vous pouvoir les vaincre ?
Désian : Honnêtement, j’en doute fort, monsieur.
Kratos : * Rââââh ! Et moi qui ne suis pas armé… Quel poisse ! * Bon, vous ! Allez chercher Arkart !
Désian : Bien monsieur !

Le Désian s’engouffra dans l’escalier en courant. Kratos réussi a tuer un homme avec Eruption, et lui prit son glaive. Il prêta alors main forte aux Désians, jusqu’à ce qu’il se trouvèrent en nombre très réduits. Les trois Désians et Kratos se furent encerclés par une vingtaine d’hommes. Kratos se maudit pour avoir oublié son équipement sur la rive. Il savait qu’il ne craignait presque rien de ces hommes armés assez faiblement. Dix autres hommes arrivèrent par le trou dans le barbelé. Kratos élabora rapidement un plan. Il devait réussir à prendre la Langue de serpent qu’un homme possédait en volant rapidement vers lui et en le surprenant.

Ce fut une partie de plaisir. Kratos fit sortir ses ailes, et se précipita vers l’homme encore impressionné par l’apparition d’ailes sur un hommes. Kratos s’empara de l’épée facilement et eut le temps d’entailler deux hommes sur le passage. Il se rendit rapidement devant l’entrée qui menait au niveau –1, pendant que les trois Désians prisonniers se furent transpercés de flèches adverses.

Les hommes se regroupèrent et s’approchèrent de Kratos. Il réfléchit. Soit il les tuait tous, soit il fuyait dans le sous-sol. Les deux solutions ne lui plaisaient pas. Il ne voulait pas tuer autant d’hommes de ses propres mains, et il ne voulait pas passer pour un lâche.
Homme : Rends toi ! Où tu es mort !
Kratos se retenu d’éclater de rire. Il ne craignait absolument rien de ces êtres pathétiques, et il le savait… Il n’eut pas le temps de répondre, que deux vagues d’énergie montèrent les escaliers et vinrent percuter un homme de plein fouet, ce qui le tua sur le coup.

Des flèches s’abattirent par millier sur Kratos, qui invoqua Gardien. Quand tout d’un coup, Arkart arriva par l’escalier. Kratos avait sentit sa présence. Arkart dégageait une très grande quantité de mana. Kratos lui esquissa un sourire amical.
Kratos : Pas mal, le Double croc démoniaque !
Arkart : Ouais ! Comment ça va ? Mon vieil ami ?
Kratos et Arkart se connaissaient depuis fort longtemps ! Il était le seul Cardinal Désian que Kratos appréciait vraiment. Il était vieux, très vieux, mais il avec une force colossale ! Malgré cette puissance, sa résistance était égale à celle d’un Grizzli mauve, car l’âge avait eut raison de lui.

Le combat se déroulait selon la façon suivante : Arkart envoyait des attaques de longues portée, pour éviter de se prendre des coups, pendant que Kratos combattait de front.
Mais cette stratégie changea vite, quand six Exbéluas sortirent de nulle part.
Kratos, terrifié : Qu’est-ce que c’est ?
Arkart : Ca ? C’est des Exbéluas, c’est la forme que prennent les hommes n’ont pas de Serti-clefs ! Je ne savait pas qu’il y en avait autant dans la prison !
Kratos parut terrorisé. Il savait que les prisonniers devaient porter une exphère, mais ne savait qu’ils devenaient cette chose sans Serti-clef…
Kratos : Tu n’as pas bien l’air au courant de se qui se passe dans ta Ferme apparemment ! Tu sais que je suis là pour faire une inspection !
Arkart : Oh s’il te plaît Kratos, évite des paroles comme ça alors qu’on combat ! répliqua-t-il alors qu’il lançait une Epée sonique sur un homme.
Kratos : De toutes façons, tu sais très bien que jamais je te ferais attirer des ennuis ! répondit-il en lui adressant un clin d’œil.

Les Exbéluas tuèrent la totalité des hommes en moins d’une minute. Alors, elles se tournèrent vers Kratos et Arkart.
Kratos : Enfin un combat à notre taille !
Arkart : Eh ! Tu sais très bien que ma résistance est…
Kratos : Ouais ouais ! Ne t’inquiète pas, je les tiendrai à distance !

Le combat commença immédiatement. Kratos combattait contre quatre Exbéluas, pendant que Arkart essayait d’empêcher les deux restants de ne pas s’approcher de lui.
Le combat fit rude, mais plus les Exbéluas tombaient, les unes après les autres, et plus il devenait simple. Lorsqu’il ne resta plus aucune Exbélua en vie, Kratos mangea un Gelée de citron qu’il trouva d’ailleurs très acide. Arkart, lui, se mit à genoux, pour se reposer, et chercha des yeux son armure qu’il avait dut enlever pendant le combat pour mieux bouger.

C’est à ce moment la, alors qu’Arkart se relevait, qu’un homme, qui pouvait encore bouger, saisi son Arbalète elfique et tira une flèche dans le dos, alors non protégé, du Cardinal Désian. Ce dernier s’effondra à terre en poussant un gémissement de douleur. Kratos de retourna et envoya un Cercle démoniaque dans la tête de l’homme, qui explosa sous la puissance de l’attaque.

Il accourut auprès de son ami et, voyant qu’il ne lui restait que deux Fioles de panacée, lança des Premiers soins. Malheureusement, ces soins furent inefficaces sur le vieillard. Il murmura quelque chose qui ressemblait à : « Seigneur Yggdrasill, gloire à l’âge des Demis-Elfes… », et mourut, dans les bras de Kratos.

Kratos se releva, essayant de dissimuler ses larmes, et courut hors de la Ferme. Il passa devant Noïshe, qui avait réussi à se détacher, sans lui prêter la moindre attention. Il continua son chemin au pas de course, quand une lumière lui éblouit les yeux. Noïshe, qui suivait son maître courut se cacher derrière un buisson. Kratos examina le flot lumineux un instant. Un explosion d’étoiles scintillantes se fit voir. Kratos se mit la main devant les yeux pour éviter d’être éblouit, et réussi à distinguer une silhouette, qui se dessinait progressivement.

Une voie retentit…
Voie : Je suis venu car j’ai senti que quelque chose n’allait pas…
Kratos : Seigneur Yggdrasill ! Veuillez m’excuser…
Yggdrasill : Voyons Kratos, aurais tu oublier mon nom ?
Kratos : Pardon Mithos…
Yggdrasill sourit : Bien ! J’ai senti la mort d’Arkart ! Que s’est-il passé ?
Il prenait un ton très calme et serein. Le flot lumineux avait entièrement disparut. Yggdrasill avait l’air d’un Dieu. Ses ailes immenses scintillaient et battaient calmement dans l’air. Il portait une sorte de « grenouillère » blanche, et se tenait parfaitement droit, ce qui lui donnait un air solennel.

Kratos lui expliqua l’histoire en commençant par son arrivée à la Ferme. Au loin, Noïshe approchait timidement…
Yggdrasill : Bof… De toutes façons, Arkart n’était plus apte à diriger cette Ferme…
Kratos ne répliqua pas. Il aimait bien Arkart, mais son meilleur ami était Mithos !
Yggdrasill : Le seul problème est qu’il me faut un nouveau Cardinal Désian maintenant. Un Demi-Elfe, de préférence.
Kratos savait que le « de préférence » signifiait « obligatoirement ».
Yggdrasill : Tu ne vois pas qui pourrait être à la hauteur de cette offre ?
Kratos : Pas vraiment nan ! Euh… Attends ! J’y pense, j’ai un vieil ami Demi-Elfe qui pourrait remplacer Arkart. Il est fort et jeune. Il ferait bien l’affaire.
Yggdrasill : Bien, et comment s’appelle-t-il ?
Kratos : Kotus Vladimir Armos Romir.
Yggdrasill esquissa une grimace.
Yggdrasill : C’est long ! fit-il remarquer !
Kratos : Oui, mais tu peux l’appeler Kvar…